Ethique & déontologie

L’exigence que requiert la psychothérapie passe aussi par l’éthique. Le cadre est important dans la confiance que le client accorde au thérapeute nécessaire dans l’alliance thérapeutique. Le Professionnel met un point d’honneur à cela. Il signe la Charte de déontologie de la Fédération.

Exercer légalement en étant déclaré comme professionnel.

Respecter la dignité de la personne en traitement.

- En connaissant ses propres limites professionnelles. - En s’engageant à orienter la personne en traitement vers un autre praticien si besoin. - En mettant en œuvre une recherche de moyens qui tend vers l’autonomie et le mieux-être du patient - En respectant ses croyances religieuses, politiques, philosophiques. - En n’utilisant aucune pratique, pression, de quel qu’ordre que ce soit, qui puisse mettre en péril l’intégrité du patient.

S’interdire toute pratique sexuelle avec les patients ou clients et les élèves en formation.

S’interdire et interdire tout passage à l’acte violent.

Fixer les honoraires avec tact et mesure et s’interdire toute exploitation matérielle et financière.

Respecter et faire respecter la règle de confidentialité.

Garantir le secret professionnel.

Il est à rajouter et à préciser que le professionnel s’engage à faire preuve envers son patient de bienveillance, d’absence de jugement, de tolérance, d’empathie, à respecter son intégrité psychique et physique, à accepter son histoire, sa spiritualité et ses souffrances.

La thérapie peut venir en complément d’un traitement, mais ne peut le suppléer. Le professionnel ne peut en aucun cas arrêter la prise de médicament chez son client ni poser un diagnostic. En revanche, ses connaissances en psychopathologie lui sont utiles pour distinguer la maladie mentale de la souffrance psychique de l’être humain d’ordre existentiel et psychosocial et pour envoyer le patient au besoin vers un professionnel adéquate tel que le médecin traitant ou le psychiatre.

Le thérapeute n’est ni un médecin, ni un magicien et ni un guide. La personne va découvrir par elle-même ses propres clefs pour accéder à son autonomie. Elle participe activement au processus thérapeutique, ce qui n’est pas le cas du patient chez son médecin. C. ROGERS privilégiera de facto le terme « client » dans la thérapie. Néanmoins, le professionnel utilise comme la plupart des praticiens celui de « patient » en raison de la durée de la thérapie et du soin psychique apporté qui dépasse la notion de transaction.

 A contrario, le terme « client » est préféré dans le cas du coaching dont la durée est plus courte. Le mot a aussi son importance car l’un des sens du mot latin « cliens » est « celui qui se met sous la protection de ». C’est bien de l’aide que vient trouver la personne chez le coach.

Il doit avoir fait un travail personnel. Un aveugle ne peut aider un aveugle. Celui qui n’a pas vu, ne peut pas faire voir l’autre, ne peut pas entendre chez l’autre ce qui se dit ET ce qui ne se dit pas. Il ne peut emmener l’autre sur un chemin qu’il n’a pas lui-même emprunté.

Il suit régulièrement des séances d’intervision avec d’autres praticiens et une intervision avec un superviseur.

Il s’adapte à l’évolution de la société et aux difficultés que le patient peut avoir pour aller à son encontre. Il peut proposer des séances à domicile et à distance via la téléconsultation et le téléphone.

Le cabinet de psychothérapie respecte les normes PMR et de sécurité sanitaire, comme l’impose la loi.

Psycho-Somatothérapeute & Psychanalyste

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